billie

Dès ses 6 ans, billie, 22 ans, frange noire et regard qui frise, chante et apprend le piano auprès de sa famille musicienne. A la fois bercée par la dream pop des Cocteau Twins, le post-punk des Joy Divison ou le rock expérimental des Velvet Underground, billie forme aussi sa sensibilité au contact des voix uniques des icônes de l’hexagone, France Gall ou Françoise Hardy. Durant un séjour en Angleterre, elle commence à composer ses premières chansons en français, dont résulte son premier EP J’avance. Des chansons de désir (Amy), de mélancolie (Ami imaginaire, Parle-moi parfois) et d’urgence (J’avance, La terre explose), à la fois intimes et générationnelles. Le tout se ressent comme une décharge électrique et maîtrisée, une chanson française aventureuse, entre rock, pop et punk, frappée d’une irrévérence british.

La Ferme de Birel sera le point d’arrivée d’une balade cycliste qui partira du centre-ville. Rendez-vous dans la cour du Nord (2 Rue du Palais de Justice – Arlon) à 9h30 | Départ 10h00 (Itinéraire de 10km ; cadence familiale ; musique mobile)

Vous pouvez bien entendu vous rendre directement au concert. Veuillez svp respecter les consignes de parking à proximité de la ferme. Ouverture des portes à 11h | Concert 11h30.


À propos de la ferme :

Connue également comme “le Birelhof”, la Ferme de Birel est la dernière ferme opérationnelle à la porte d’entrée d’Arlon. Son lien historique avec l’Abbaye de Clairefontaine date du 18e siècle. Elle se situe sur “Le grand tour des routes”, ainsi proposé par le guide d’Arlon à la Belle Epoque, qui mentionne “une promenade aisée aux vues variées et étendues” menant au chemin du Birelhof. Depuis des décennies et encore à l’heure actuelle, cette ferme élève des ovins et pratique un éco pâturage dans la Vallée de Clairefontaine et d’autre terrains de la région arlonaise. Elle est la dernière ferme en activité aux bords immédiats de la ville d’Arlon.

Aujourd’hui, son positionnement stratégique intéresse tant les urbanistes que les promoteurs immobiliers et l’utilisation grandissante de terres arables pour des usages non alimentaires pose la question de la survie même de l’agriculture aux environs immédiats de la ville.